"This is the new shit"Cowbloghttp://electronslibres.cowblog.frSat, 05 Nov 2011 18:30:23 +0100180Wed, 07 Sep 2011 00:21:00 +0200Wed, 07 Sep 2011 00:21:00 +0200http://electronslibres.cowblog.fr/desinvolture-3135491.htmlCapu

Une odeur de vieux mégots vient s'infiltré dans mes poumons encrassés dès ma première inspiration.

D'où vient cette lourdeur ? ça je ne saurais le dire. Alors on va essayer de ramasser les morceaux et de faire encore mieux , encore plus beau
.
Tomber dans des profondeurs extrêmes quoi de plus excitant. Des vêtements éparpillés au quatre coins de ma chambre , des bouts de papiers brûlés.

SBAM.


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Sun, 20 Jun 2010 11:41:00 +0200Sun, 20 Jun 2010 11:41:00 +0200http://electronslibres.cowblog.fr/du-fond-de-teint-sur-les-lunettes-3010147.htmlCapu

Une nuit sans fin. Des images qui tournent en boucle. Je crois être bien. Ma vision est trouble , mes mains brulés par toutes ces brulures de cigarettes , mon cou sent encore ce doux parfum , mes yeux à moitié explosé sont emplie de chaleur , mon coeur bat la chamade & j'ai du fond de teint sur ma joue droite. 

Et j'ai eu peur. Lorsque dans l'ombre de la nuit tout s'est enfuit j'ai voulu moi aussi m'enfuir.

" Mais nous on rit tu me fais boire , on finit vite sur le trottoir "

Alors pendant un instant je me suis arretée sur le bord de la route pendant une averse et j'ai fait une pause. J'ai essayé de comprendre si ce que j'avais fait depuis dix-huit ans m'avait servi à quelque chose et tout ce que j'ai pu faire été souvent futile mais au moins je vis.
Du plus fort que je puisse , j'ai rencontrée des tas de personnes , j'ai cherché des réponses , j'ai voulu parfois tout abandonné , puis je suis repartie et enfin j'ai croisé ton sourire.

J'avais la rage , j'étais étouffée par cela et ça m'aurait tué. J'ai déambullé de soirées en soirées à trainée mon corps comme une âme en peine et quand je me suis dit que c'était fini que j'arrétais mes lèvres ont glissé sur les tiennes et ton rire à rejoint le mien tout nous rejoignait sans exceptions que ce soit la musique , les cigarettes , le dumont , les briquet rouges , les mathématiques , les mains..et j'ai eu besoin de toi tu es devenue comme mon nouveau souffle celui qui m'avait toujours tant manqué.

Alors je me suis remise à respirer et j'ai arréter de penser. Le temps semblait infinie lorsque ma tête posait contre la tienne on regardait dans la même direction , un peu comme si je t'avais toujours cherché.


Je n'ai plus envie de partir , je n'ai plus besoin de fuir , j'ai juste envie de t'aimer comme jamais , [ de ne compter que pour toi , de m'enfermer dans une passion indestructible , de ne penser qu'à toi ] et d'avoir des étoiles dans les yeux à chaque fois que je croise ton regard. J'ai envie d'affronter toutes ces choses qui me terrifient car j'ai la certitude qu'avec toi tout ira bien et que plus rien ne me détruira car je sais dans le fond que je t'ai toujours recherché dans tout ces endroits et quand je ne m'attendais plus à rien c'est à ce moment là que mon regard à croisé le tien alors je n'ai plus peur de rien car quand ta main effleurent mes cheveux plus rien ne compte à par nos étreintes , nos baisers et la douceur de ta peau. Ton parfum .

Tout m'a paru beaucoup plus simple. On était volatiles et on ne savait rien , on ne se rendait pas compte de tout ce qui nous arrivait. On buvait , on fumait puis indéniablement on savait qu'on se retrouverait dans les bras l'une de l'autre et pour moi c'était moi cela vivre.  On ne pensait à rien juste aux bouteilles qu'on allait boire puis aux murges du lendemain et quand nos regards se croisait on savait dans le fond ; on le savait. Quand j'étais seule près de toi , plus rien ne compter. à part l'amour que je pouvait éprouvé à ce moment , lorsque l'on regardait le soleil se couché complétement ivre , tellement ivre. Et le seul et unique refuge que j'avais trouvée était le creu de tes bras car je savais qu'ils ne mentait pas je savais que tu ne mentais pas tu n'étais pas comme les autres tu étais si différente si belle tu me crevais les yeux.
 
Alors je me m'étais à rougir et là tu me souriais et je t'embrassais pendant de longues chansons. Et je savais que j'étais amoureuse , j'étais amoureuse de l'utopie féminine , de la femme parmis les femmes et je me rendais compte mais pour moi tu étais tellement extraordinaire que cela me passait au dessus. Je sortais avec la fille la plus sexy du bahut et alors ?
Je l'aimais. Pas pour ses jolies fesses mais pour son intérieur cet quete qu'elle s'infligeait jour et nuit je t'aimais et je t'aime pour ça. Pour toutes ces choses dotn tu as le secret.

" Plonger au fond du gouffre Ciel ou enfer qu'importe
Au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau "

Je t'offre mes songes Mon Amour... C'est tout ce que j'ai. C'est tout ce qu'il me reste. Prends-les avec toi je t'en prie. Je sais qu'ils seront à l'abri près de ton coeur. Je sais que seule toi pourra alors les comprendre et me comprendre. Tes mains sont mieux que la soie , tes yeux sont mieux que des emeraudes , ta peau est mieu que le satin , ton sourire est mieux qu'un soleil


























D'autres mots comme , Adélaïde.
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Mon, 22 Mar 2010 20:32:00 +0100Mon, 22 Mar 2010 20:32:00 +0100http://electronslibres.cowblog.fr/la-jeunesse-enmerde-le-front-national-2979014.htmlCapu

Déverse du vermillion dans ma vie au moins elle aura une couleur . Elle ressemblera peut-être à quelque chose de potable et j'aurais éventuellement envie de la vivre .


" On est tous un peu Clémentine " On ferme les yeux pour ne pas voir la misère des choses et surtout ce qui nous attends , ce qui est devant pour ne pas perdre espoir et ne jamais renoncer . On ne prète pas attention aux choses car on sait qu'elles sont nocives et on écrit en espèrant qu'un jour ça passera et qu'on arrivera enfin à mieux vivre mais on sait d'avance que le combat est déséquilibré
On est vraiment tous pourris . J'ressens les choses à une tel intensité que parfois elle me font perdre pieds , j'veux tellement tout vivre que parfois j'en perd la tête et je refais le monde à ma propre manière et  c'est tellement orgasmique.

Tout faire exploser pour mieux recommencer. J'veux pas me résignée et m'endormir dans mon confort. Non , je veux plus que ça je veux TOUT changer faire de tout cela un putain de truc je veux avoir envie de me lever le matin et ne plus pleurer devant la télévision.



" Profite de ta vie , elle t'appartient "



Le Ridicule de l'être Humain.
La Stupidités de nos Corps.
La Constance des Hommes.
La Pesanteur des Mots.
La Planitude  des Choses






          
                                    
                                                                  " RESPIRE ENCORE MON DOUX MENSONGE "


J'épancherais toutes les douleurs de l'univers dans tes yeux.






























Ce monde n'est pas le notre.


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Sun, 03 Jan 2010 17:44:00 +0100Sun, 03 Jan 2010 17:44:00 +0100http://electronslibres.cowblog.fr/acide-de-mon-coeur-2950178.htmlCapu

 

Tu vois ce qu'il y a là haut ? Tu vois toutes ces étoiles ? Tu vois tout ce ciel ? Tu vois toute cette merde ? Tu vois tout ce pouvoir ? Tu vois tout ces pantins ? Tu vois ce qu'ils font de nous ? Comment tu veux rire de tout ça ?


C'est de la pure merde.
Un truc qui me fout la GERBE, qui s'infiltre dans mes TRIPES et me bouffe. Qui me donne envie de me flinguer chaque fois que je fous le nez dehors.
On passe notre temps à se plaindre, à rabacher les mêmes PEURS, les mêmes envies comme si tout était fait pour être respecté, comme si on avait rien à dire juste à subir. Comme d'habitude. Après tout, ça fait parti de l'odre des choses, mais c'est plus possible vraiment plus.

Il me faut partir, m'enfuir, continuer à avancer sans toutes ces contraintes
Vraiment.
J'en suis certaine.


Je pourrais déverser ma haine ici pendant des heures, cette haine envers La Connerie humaine, envers nous & envers moi.
J'en ai honte, tellement honte...
Tout les matins je ressens la même sensation, celle d'avoir vraiment raté quelquechose, de m'être trompé de monde. C'est pas un caprice d'adolescente non, c'est plus que ça. C'est plus profond, plus important, plus vital.

J'ai comme ce besoin de me séparer de tout ça  "C'est lorsque que l'on a tout perdu que l'on est vraiment libre". J'ai envie de me dire que je suis libre mais en fait ce n'est pas si simple que ça parce que là, ça semble superficiel.
J'ai le coeur empli d'un demi million de choses plus ou moins compliquées qu'il est difficile d'exprimer. J'ai l'âme qui dégouline de tout ce venin qui constitue mon être, enfin je crois.

On aime, on déteste, on rigole, on détruit, on reconstruit, on part, on revient, on pleure, on a peur, on marche, on tombe, on regrette mais au final on n'oublie jamais rien, c'est un perpétuel changement.

Mais comment après tout ce que l'on sait, tout ce que l'on voit, on peut se prétendre malheureux ? Y'a eu une erreur.

On est tous dans le même cas, dans la même case, dans la même merde. On essaye tous de s'inventer une vie que tout le monde nous envie puis on s'enfonce, on tombe, on recommence jusqu'à ce que ça nous plaise et qu'on trouve des gens comme nous.


C'est pas comme ça que ça devrait fonctionner !
Rien ne tourne rond, tout se disloque dans ma tète, je suis comme attachée à une vie qui n'est pas la mienne, que j'essaye de modeler constament pour me sentir utile, pour essayer de me sentir un minimum vivante, pour sentir mon coeur battre, mes mains trembler, des larmes sur mes joues, mon corps vagabonder, mes lèvres sur celle d'une jolie fille...

En fait j'essaye juste de vivre.





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